







Le télescope, en tant qu’un des symboles épistémologiques du XVIIe siècle, est interrogé au sein de cette installation qui compte trois télescopes à fonctions détournées. Le premier présente une interprétation sonore des relevés des corps célestes donnée à écouter dans un appareil à usage visuel. Le deuxième recèle en lui un microscope et un échantillon de tissu vivant qui, agrandi plus de 1200 fois, ressemble à la représentation d’une nébuleuse. Enfin, le troisième télescope efface le traditionnel « objet de recherche » en le remplaçant par le sujet lui-même : un jeu de lentilles et d’éclairage permet au spectateur de voir à l’intérieur de son propre œil.
Techniciens et conseil :
étudiants-ingénieurs de l’École Polytechnique de l’Université Lille-I ;
Marc Bonnaure, ingénieur et membre de l’association CARL à l’Observatoire de Lille (conseil théorique);
Corentin Spriet, chercheur en technologies microscopiques au laboratoire TIS Bio à l’Université de Lille.
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